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Deux écoles raccordées au gaz

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Deux écoles primaires relevant de la commune d’Amalou, ont été raccordées au réseau du gaz naturel, au cours de ces derniers mois. Il s’agit, apprend-on, de l’école primaire du chef-lieu communal, ainsi que celle du village Timesririne, situé à la périphérie du centre urbain.

«Ces projets ont été réalisés grâce au volontariat de la population et une contribution de l’APC», a fait savoir M. Haddad, le premier magistrat de la commune. «Les écoles des villages Ath Djaâd et Ighil N’tala sont retenues pour être raccordées à leur tour au réseau.

Nous avons convenu avec la population de mettre nos efforts et nos moyens en commun, pour généraliser progressivement ces opérations à toutes nos écoles. La direction de l’Education est aussi mise à contribution pour la fourniture des poêles à gaz», a annoncé l’édile communal.

Pour les responsables de l’APC, cette alimentation en gaz naturel est une parade aux ruptures d’approvisionnement en gazole et aux difficultés d’accès à ces établissements éloignés et enclavés, en cas d’épisodes neigeux. Même la trésorerie municipale s’en trouvera allégée par une économie substantielle de carburant que ces projets permettront de dégager.

«Le gaz naturel est tellement plus commode et plus pratique. Et c’est tout bénef pour nos enfants», estime un parent d’élève de l’école Abdlouhab Mokrane. «Ces actions en faveur de nos primaires sont un bel exemple de solidarité agissante et d’entraide entre les citoyens et la collectivité. Nous donnons la preuve par quatre que ces vertus sont toujours aussi vivaces», renchérit un autre citoyen du village Ighil N’tala.

N. M.

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Des canalisations de Sanana et Ichouhrène endommagées

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Les dernières pluies qui se sont abattues sur la région ont causé des dégâts au réseau routier mais aussi aux canalisations d’eau potable qui ont été complètement endommagées. C’est le cas de la conduite qui alimente Tizi-Gheniff, Sanana et Ichoukrène traversant la localité de Boufhima.

Selon une source proche de l’APC, suite à un affaissement de terrain dans cette plaine, une conduite d’eau a été endommagée si bien que durant plus d’une quinzaine de jours ce liquide n’a pas coulé des robinets dans les villages Sanana et Ichoukrène, dont la population est évaluée à plus de six mille habitants. «La conduite a été réparée mais elle n’a pas tenu longtemps.

Peut être, il faut remplacer tout le tronçon endommagé. On attend toujours qu’une solution urgente soit trouvée à ce problème», a ajouté la même source. On croit savoir que le directeur de l’ADE de Tizi-Ouzou allait même se déplacer sur les lieux pour prendre sérieusement ce problème, surtout quand on sait que l’ADE locale manque énormément de moyens pour intervenir dans des cas pareils.

«Dans notre commune, le problème d’eau a été définitivement réglé depuis le transfert de l’eau du barrage Koudiat Acerdoune (Bouira) dans toute la région. On attend toujours que cette panne soit réparée pour voir l’alimentation rétablie le plus vite possible dans ce versant», affirme notre interlocuteur.

Certes, l’eau est disponible en quantité suffisante aussi bien dans les villages que dans les quartiers de la ville, cependant, il est à noter que le réseau de distribution attend toujours sa rénovation eu égard au nombre incalculable de fuites enregistrées ici et là.

Un projet important de rénovation est attendu, notamment en ville, où l’ancienne conduite parfois en amiante devra être remplacée par une autre en PEHD. «Nous avons un problème de moyens. Pour les interventions, il faudra quand même avoir non seulement un personnel suffisant mais aussi tous les moyens nécessaires.

Et puis, n’oubliez pas que nous couvrons un territoire très vaste de six communes», a confié une source proche de l’ADE. Il est attendu aussi l’extension du réseau dans certains hameaux non encore raccordés. Par ailleurs, il est à souligner que de nouvelles habitations nécessitent d’être raccordées au réseau.

D’ailleurs, le nombre d’abonnés a presque quadruplé par rapport au début des années 2000. En définitive, le secteur de l’eau reste tout de même le plus développé dans toute la daïra avec de nombreuses opérations de raccordement au quotidien.

Amar Ouramdane

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Des villageois bloquent le chantier

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Des habitants du village Snadla, dans la commune de Draâ El-Caïd, bloquent, depuis plus d’une semaine, l’accès au chantier de la station du transfert des eaux du barrage Ighil Emda.

Par leur action, les villageois de Snadla entendent réitérer leur revendication portant alimentation de leurs foyers en gaz naturel. «Nous ne pouvons plus attendre ! On nous a promis à maintes fois du gaz, mais jusqu’à présent rien n’a été fait, d’où notre décision de fermer ce chantier et réitérer notre doléance», dit l’un des représentants des habitants de Snadla, rappelant que l’actuel wali leur a promis dernièrement de satisfaire leur demande.

«Il nous a promis (le wali ndlr) de lancer l’étude et de raccorder notre village au réseau du gaz naturel», rappelle-t-il. En fin de la semaine dernière, des représentants des villageois mécontents ont été reçus au siège de la wilaya par le chef du cabinet du wali.

Au terme de la rencontre, selon notre interlocuteur, «un procès-verbal résumant nos revendications a été dressé, tout en nous promettant de les prendre en charge». Néanmoins, les habitants dudit village persistent à maintenir le blocus sur le chantier de la station du transfert des eaux du barrage Ighil Emda, en empêchant les ouvriers d’y accéder. Même les déplacements du chef de daïra de Kherrata et du P/APC de Draâ El-Caïd ont été sans résultats.

Ces derniers ont été tout bonnement reconduits par les villageois, en leur faisant comprendre que leur revendication dépasse leurs prérogatives respectives. Pire que çà, le maire de la localité a même été accusé d’être «à l’origine du problème», et ce, selon eux, «en excluant notre village de la liste des bénéficiaires du gaz naturel dans le cadre des PSD de 2017.»

Ces derniers jours, selon des sources locales, d’autres habitants du village limitrophe Tizi Lakhmis sont venus grossir les rangs des manifestants pour réclamer, eux aussi, l’alimentation de leurs foyers en gaz naturel. Les habitants mécontents de ces deux villages se disent «déterminés» à maintenir la pression sur les pouvoirs publics jusqu’à satisfaction de leur revendication.»

Il est attendu, apprend-on de sources locales, que le mouvement de protestation des habitants de Snadla fassent tâche d’huile dans les villages voisins.

F. A. B.

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La prospection d’un terrain lancée

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Une prospection de terrain pour l’implantation d’une décharge publique contrôlée est engagée par les responsables en charge de la gestion des affaires de la commune de Tinebdar. «Nous nous sommes pleinement investis dans ce projet qui nous tient à cœur, car la problématique des déchets impacte directement le cadre de vie et la santé publique. L’ébauche de ce projet est une réalité tangible.

Nous avons bon espoir de le concrétiser dans des délais raisonnables», a déclaré un responsable de la municipalité. «Nous avons hérité d’un feuilleton à rebondissements, celui du centre d’enfouissement technique inscrit il y a de cela plusieurs années.

Maintenant qu’il est dans l’impasse, nous avons la responsabilité de trouver une solution alternative, pour préserver l’environnement et la santé de nos concitoyens», a-t-il ajouté. Pour l’heure, les déchets ménagers, dont la collecte et l’enlèvement sont correctement assurés par les services de l’APC, sont entreposés sur des sites vierges de toute habitation.

«C’est un dépotoir provisoire, dont on assure la surveillance, pour éviter les déversements anarchiques et les débordements des ordures en dehors du site d’entreposage. Néanmoins, dès la création de notre projet, ce dépotoir sera éradiqué», nous a-t-on expliqué.

Sur le plan de la salubrité publique, le centre urbain du chef-lieu communal et les quartiers gravitant à la périphérie, offrent un panorama des plus clean, contrastant avec l’image hideuse de la plupart des villes de la Soummam. «Nous avons pris une longueur d’avance sur les autres communes.

Ce n’est point un hasard si les autorités de la wilaya ont décerné il y a quelques années à Tinebdar la distinction de la commune la plus propre de Bgayet», rappelle sur une pointe de fierté un citoyen de Tinebdar.

N. M.

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Treize projets pour les villages

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La cagnotte allouée par la wilaya à la commune d’Aït Yahia, dans le cadre des PCD (plans communaux de développement) a été répartie sur les villages selon l’ordre de priorité.

Vu l’insuffisance de cette enveloppe, l’exécutif local a opté pour un système de répartition équitable en concertation avec les concernés. Ainsi, les hameaux bénéficiaires du budget de l’an dernier ne seront pas concernés par celui de cette année.

D’après Bélaid Aït Kaci Azzou, vice-président de l’APC: «Chaque village, parmi les cinquante deux que compte la commune, aura sa part de développement, à raison d’une fois tous les deux ou trois ans, suivant le plan établi qui s’étale jusqu’à 2022».

Cette année, ce sont donc treize agglomérations qui ont été retenues pour des projets sélectionnés auparavant, en collaboration avec leurs comités respectifs qui ont été associés à cette opération. Pour contenter la plupart des citoyens, l’APC a été contrainte de réunir plusieurs quartiers (ou fractions) proches les uns des autres, autour d’un projet commun.

Cependant, force est de reconnaître qu’il est très difficile de satisfaire tant de villages avec une enveloppe de 3 milliards de centimes par an. Un simple calcul arithmétique nous donne un chiffre ridicule de moins de soixante millions de centimes par village, destiné au «développement» local.

Ces fonds destinés à l’aménagement urbain, l’assainissement ou encore aux confortements avec murs de soutènement, suffisent rarement à atteindre l’objectif des villageois qui doivent consentir un effort financier pour les achever ou attendre un autre PCD. Hormis ces projets, l’APC a inscrit la réalisation d’une bâche à «Tagoursth», un village qui souffre du manque d’eau en raison de «l’absence d’un réseau d’AEP».

L’alimentation des foyers se fait jusqu’à maintenant à partir d’une source qui devrait être aménagée également, à cette occasion. Quant à la réalisation de ces projets, les entreprises qui en seront chargées seront désignées dans quelques jours, nous dit également monsieur Aït Kaci Azzou. Notons que les onze opérations inscrites au titre des PCD de l’exercice 2018 sont achevées, nous apprend notre interlocuteur.

A. O. T.

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Un plan spécial mis en place

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Ces jours-ci, plusieurs quartiers de la commune de Béjaïa croulent sous les ordures ménagères suite à un mouvement de grève des entreprises privées en charge de la collecte, réclamant leur dû.

Un état de fait récurrent dans la commune de Béjaïa en raison de l’inexistence d’une véritable stratégie de collecte et de gestion des ordures. Les multiples tentatives de créer un EPIC pour la prise en charge de cette lancinante problématique ont toutes échoué.

Et pourtant, en novembre dernier, une enveloppe financière conséquente a été allouée par l’APC de Béjaïa pour mettre fin définitivement à la gestion aléatoire et hasardeuse des déchets ménagers. «Notre assemblée vient de voter un budget de plus de 25 milliards de centimes pour s’occuper de l’hygiène de notre commune.

L’APC de Béjaïa a approuvé dans ce sillage la création d’un EPIC communal, dont les statuts ont été rédigés», a affirmé le vice-président chargé de l’hygiène à l’APC de Béjaïa. Cet EPIC, non encore lancé, aura à gérer les espaces verts et la collecte des ordures ménagères. Dans ce sillage, a-t-on promis, des moyens matériels seront acquis, dont l’acquisition de 3 000 bacs à ordures et 1 500 autres bacs urbains, ainsi que des balayeuses.

En outre, un parc communal dédié au nettoiement sera aménagé au niveau du quartier «Quatre Chemins». Un autre budget a été consacré par l’APC de Béjaïa, soit huit milliards de centimes, pour l’achat de bennes-tasseuses. Au total, 40 camions bennes-tasseuses ont été d’ores et déjà acquis. Mieux que ça, a-t-on encore promis, «l’APC de Béjaïa ne se contentera pas seulement de la collecte des déchets ménagers, mais investira dans leur revalorisation».

Dans ce cheminement, a-t-on expliqué, «des opérateurs privés sont attendus à Béjaïa pour étudier avec l’exécutif communal cette question et trouver les solutions à mettre en œuvre pour la prise en charge du recyclage et la mise en valeur des déchets collectés.»

Il faut souligner que l’entrée en service de cet EPIC communal est subordonnée, a-t-on souligné, à l’ouverture du centre d’enfouissement technique (CET) de Sidi Boudrahem, dont la fermeture a été ordonnée par la ministre de l’Environnement sous la pression des habitants de la commune d’Oued Ghir, arguant sa non-conformité aux normes requises.

Aujourd’hui, le résultat est là : des quartiers ensevelis sous des tonnes d’ordures. Il importe de signaler que la grève des entreprises chargées de la collecte des ordures a pris fin jeudi dernier. Les responsables locaux assurent avoir mis en place un plan spécial pour enlever toutes les ordures sous peu.

F. A. B.

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Vibrant hommage à Imache Amar

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Les membres de l’association Imache Amar, les autorités locales et de nombreux citoyens ont pris part à la cérémonie de recueillement organisée en fin de semaine.

Le rendez-vous rentre dans le cadre du 59e anniversaire de la disparition d’Imache Amar, l’un des fondateurs du Mouvement nationaliste algérien moderne, décédé le 07 février 1960.

Les activités commémoratives initiées par l’association qui porte son nom ont débuté la matinée. Dépôt de gerbes de fleurs au niveau du monument des martyrs du village puis sur la tombe du regretté, suivi d’une minute de silence à la mémoire de tous les martyrs de la Révolution algérienne, avec la présence massive des citoyens de l’arche n’Ath Douala, les autorités locales, la famille révolutionnaire et artistique, la Fondation Lounès Matoub ainsi que le fils du défunt Chabane Imache.

«Je remercie tous ceux qui sont venus aujourd’hui afin d’assister au recueillement de mon père. Les mots me font défaut pour exprimer ma gratitude envers tout ce beau monde qui est venu partager avec nous ces moments émouvants.

Les membres de l’association et le comité du village Aït Mesbah sont aussi à féliciter surtout, que chaque année, ils contribuent à l’organisation des activités commémoratives», témoignera très ému, le fils du défunt.

Au début d’après-midi, une table ronde a été organisée, en présence des autorités locales de la région en l’occurrence les trois P/APC de Béni Douala, Béni Aissi et Ouadhia, le chef de daïra, comité du village Taguemout Ldjdid et la Fondation Lounès Matoub.

L’édile communal de Béni Douala, Fekhar Amar, a proposé un projet d’un colloque national sur Imache Amar ainsi que la réalisation d’une stèle au chef-lieu de la commune. Dans ce même village et au niveau du lycée baptisé en son nom (Imache Amar), une exposition permanente sur la vie et l’œuvre d’Imache, préparée par les membres de ladite association, a eu lieu tout au long de la journée ainsi qu’une projection d’un film documentaire sur son parcours dans le Mouvement national.

C’est donc un hommage mérité qui a été rendu à Imache Amar par ses siens à l’occasion de son 59e anniversaire de sa disparition. Une figure emblématique de la région de Béni Douala en particulier et de l’Algérie en général. Une référence qui s’éteint le 7 février 1960, pendant le blocus alimentaire imposé par l’armée française à la population du village pour la contraindre à se rallier.

Lyes Mechouek.

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Suspension du directeur de l’école primaire

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Des citoyens d’Ath Mansour ont organisé, avant-hier matin, un rassemblement devant le siège de l’APC, en guise de soutien au directeur de l’école primaire suspendu par sa tutelle, en attendant sa comparution devant la commission paritaire.

Une suspension qui intervient du reste après une enquête administrative menée par une commission dépêchée par le ministère de l’Education en novembre dernier. L’intéressé, présent à la manifestation, a exhibé des attestations dont une du P/APC qui souligne sa bonne conduite.

Comme il fait valoir pour sa défense une pétition du mouvement associatif de la municipalité comportant sept cachets, et une autre signé par 60 parents d’élèves de l’école. Deux autres pétitions portant signatures des enseignants et des 7 fonctionnaires de l’établissement sont également exhibées.

Durant le rassemblement, auquel ont également pris part des élus locaux, plusieurs intervenants ont pris la parole pour avancer au concerné leur «soutien». Soulignons que le directeur suspendu est à son poste depuis 2010 et cumule une carrière de 35 ans dans le secteur de l’enseignement.

Oulaid Soualah

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Le corps du pompier enfin retrouvé

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La bonne nouvelle est survenue, ce matin vers 10h, après 18 jours de recherches intensives. Le corps du défunt pompier Mohamed Achour a été finalement localisé sous un amas de vase au niveau d’oued D’hous, une zone spécialement ciblée depuis l’entame de l’opération de recherche.

Il était 10h lorsque les pompiers ainsi que les plongeurs de la Protection civile ont sondé la vase à proximité du déversoir des canalisations des eaux usées de la ville de Bouira, à peine 100 mètres. Pour le capitaine Nassim Bernaoui, c’est un grand soulagement que d’avoir enfin pu repêcher le corps du martyr du devoir, le défunt Mohamed Achour, emporté par les eaux en date du 24 janvier dernier.

«Nous tenons à remercier tous le monde, au niveau central et local, avec le ministre de l’Intérieur qui a suivi l’opération d’heure en heure, la ministre de la Solidarité nationale, les responsables de la wilaya de Bouira, l’exécutif, nos collègues les pompiers qui sont restés mobilisés pendant toute la durée de l’opération en permanence, ainsi qu’un grand merci à toute la population de Bouira et au peuple algérien qui s’est montré solidaire en apportant son aide dans cette opération d’envergure avec la mobilisation des bénévoles, des membres de la société civile ainsi que les associations qui sont venues de toutes les wilayas.

C’est un moment d’émotion que de pouvoir, enfin, inhumer dignement la dépouille de notre collègue, martyr du devoir le jeune Mohamed Achour», confiera le capitaine Bernaoui au moment où les plongeurs étaient en train d’extirper le corps de leur collègue. La dépouille a finalement été acheminée vers la morgue de l’hôpital Mohamed Boudiaf de Bouira pour confirmer son identification, même si les vêtements et les équipements qu’il portait appartenaient aux agents de la Protection civile.

Une identification d’usage pour laquelle le wali de Bouira s’est personnellement déplacé pour s’entretenir avec le personnel médical chargé de l’autopsie. Les bénévoles qui étaient déployés sur plus de 30 kilomètres sont rapidement venus à l’hôpital pour s’assurer de la véracité de la nouvelle qui a rapidement fait le tour de la wilaya et de la blogosphère en très peu de temps.

Les autorités locales ont tenu à présenter leurs condoléances à la famille du défunt tout en remerciant chaleureusement l’ensemble des participants ayant contribué à l’opération de recherches d’envergure qui a marquée la wilaya de Bouira tout au long de ces 18 longues journées d’efforts et de mobilisation intensive.

L’enterrement est prévu juste après les résultats de l’autopsie en présence des officiels, des éléments de la Protection civile ainsi que des bénévoles issus de toutes les wilayas du pays, ayant participé aux recherches depuis le début de l’opération. À noter que le ministre de l’Intérieur était également attendu pour assister aux obsèques, c’est toutefois ce qu’indique un communiqué de la wilaya 

Hafidh Bessaoudi

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SAADOU SAUVE … LE NUL

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La JSK continue de perdre des points à domicile en se faisant accrocher, hier au 1er Novembre, par le MCA (1-1) dans le clasico de la 21e journée de Ligue 1 Mobilis.

Un nul heureux en somme pour la formation kabyle qui a frôlé une défaite certaine, puisque le MCA, qui menait au score dès la 44e minute sur un but de Frioui, a raté le KO à la 64’ suite au penalty loupé par son milieu de terrain Amada.

Et c’est contre le cours du jeu que les Canaris, qui ont livré l’une de leurs plus mauvaises prestations à domicile depuis le début de la saison, parviennent à rétablir la marque grâce au défenseur Saâdou, d’une jolie reprise de tête suite à un corner de Benouycef (67’). Un nul qui n’arrange pas les affaires de la JSK, qui accuse désormais sept points de retard sur le leader, l’USM Alger, et qui se voit aussi sous la menace de plusieurs prétendants pour le fauteuil de dauphin qu’elle occupait jusque-là.

Hier, la JSK porté par un public en or qui a garni comme à l’accoutumé les gradins du 1er novembre, n’a pas été à la hauteur, en livrant une prestation en-dessous de la moyenne face à une équipe du MCA, mieux organisée et plus entreprenante notamment en attaque malgré son infériorité numérique dès la 32e minute de jeu suite à l’expulsion de son défenseur malien Nieung, coupable d’une faute grave sur le numéro 6 de la JSK, Benyoucef.

Alors que tout le monde s’attendait à voir la JSK se relancer enfin dans le match, après un début timide, ce sont plutôt les capés de Adel Amrouche qui mettent le turbo en dominant les débats en milieu de terrain tout en opérant par des contre-attaques très bien menées par Benaldjia et Tebbi. Et c’est sur un contre de ce dernier que Frioui ouvre le score pour le MCA, suite à un centre de Hachoud, à cinq minutes de la fin de la première période.

Un but qui scia les jambes des Canaris, incapables de porter le danger dans le camp adverse tellement la ligne d’attaque composée du trio Fiston-Belgherbi-Hamroune a fait montre d’une inefficacité déconcertante au grand bonheur des joueurs du MCA, qui avaient vraiment failli revenir à Alger avec la totalité du gain, n’était-ce ce retournement de situation à la 64’ lorsqu’Amada rate le penalty du KO, suivi de l’égalisation réussie par Saâdou cinq minutes plus tard.

Une égalisation qui n’a pas pour autant satisfait les supporters de la JSK, qui voient ainsi leur équipe enchaîner avec un troisième faux pas de suite après le nul à domicile face à l’ASAM (1-1) et la défaite chez le PAC (2-0).

Pour sa part, l’USM Alger, grâce à son succès hier au stade Omar Hammadi de Bologhine par 1 but à 0, face à l’USM Bel Abbès, consolide son fauteuil de leader (44 points) soit sept longueurs d’avance sur la JSK (37 points) et se dirige ainsi droit vers son huitième titre de champions et ce à neuf journées de la fin de la saison.

En bas du tableau, le CR Belouizdad auteur d’une éclatante victoire (1-0) chez un autre mal classé, en l’occurrence l’O Médéa, partage désormais la dernière place avec l’USMBA (19 points), alors que le DRBT, vainqueur (2-0) contre l’ESS, rejoint le MCO à la 13e place avec 21 points et un match en moins.

A. C.

Les résultats
JS Kabylie 1 – MC Alger 1
DRB Tadjenanet 2 – ES Sétif 0
O Médéa 0 – CR Belouizdad 1
USM Alger 1 – USMB Abbès 0
CS Constantine 0 – ASA M’lila 0
MC Oran 0 – Paradou AC 2

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Réseau routier dégradé

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Le réseau routier à travers la commune de Maâtkas est dégradé. Le constat est établi par l’ensemble des citoyens et des responsables locaux. À Berkouka, à titre d’exemple, pratiquement tous les axes routiers sont en état de délabrement, à commencer par la route vicinale qui relie le village Afir au chemin de wilaya N°128.

C’est un axe routier long de 4 kilomètres qu’il est possible de parcourir sans perdre quelques dizaines de minutes de plus, le chemin étant tout bonnement impraticable. Son bitume a presque disparu, les trous et les nids-de-poule foisonnement le long de la chaussée. Cette dernière s’apparente à un véritable champ de mines.

«Ce chemin est infréquentable, il ajoute de l’isolement à la localité qui est déjà assez enclavée. Les travaux de gaz, d’AEP et d’assainissement sont venus à bout du bitume, réalisé en 1996». Toujours dans le même village, la route Afir vers la CW128, via Tighilt Teqdhibine, est dans le même état, si ce n’est pire !

Dans le même douar, pour aller du village ancien Berkouka à Afir, il faut avoir la patience de Job mais surtout un véhicule 4×4. À signaler que Berkouka constitue un des plusieurs versants de la commune de Maâtkas. Le dénominateur commun aux villages de cette commune est sans nul doute la dégradation du réseau routier.

Les carences sont flagrantes sur le chemin de wilaya n°147, reliant la localité au chef-lieu de wilaya, qui n’a, à vrai dire, de chemin que le nom. «Nous travaillons dans des conditions difficiles, le CW147 est en état de dégradation avancée, en plus de son étroitesse. On attend son revêtement et son élargissement depuis des lustres», fulmine un transporteur de voyageurs.

Hocine T.

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Les locaux commerciaux «du Président» non exploités

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Les locaux commerciaux entrant dans le programme du Président de la République, qui ont coûté des milliards de centimes au Trésor public, sont toujours fermés et inexploités. Les attributaires qui avaient sué pour en bénéficier lors de la distribution, ne semblent finalement pas intéressés d’ouvrir leur commerce.

A l’exemple de la commune d’Illoula Oumalou où les 59 et 33 locaux qui lui sont destinés et réalisés restent toujours inexploités. Les locaux sont situés au chef-lieu, hormis un cybercafé, une cafétéria, un salon de coiffure et deux autres locaux qu’on nous dit «en voie d’aménagement», la majeure partie des magasins attribués à de jeunes chômeurs ne sont pas exploités.

Les bénéficiaires des locaux commerciaux, situés à Souk Lekhmis (Vouhamou) dans cette commune attendent leur exploitation depuis leur attribution effective, il y a quelques années déjà. Ces derniers se disent lésés par la situation, puisque tout usage de ces locaux reste impossible d’autant plus qu’ils ne sont pas branchés aux conduites d’eau potable et au réseau d’électricité.

Ces jeunes affirment qu’ils détiennent des décisions d’attribution depuis des années, et pas plus que ça. Aujourd’hui, ces locaux sont dans un état désastreux, car ils ont été abandonnés par leurs bénéficiaires. C’est ainsi que les bénéficiaires réclament le raccordement au réseau électrique et au réseau d’AEP, afin de pouvoir activer au sein de ces locaux. Si certains propriétaires ont pris la précaution d’installer des portes métalliques pour sécuriser leurs locaux, d’autres les ont carrément abandonnés.

Les vitres cassées, les portes défoncées et les infiltrations d’eau de pluie montrent le manque d’intérêt que la plupart des locataires accordent au bâtiment qui donne l’impression d’être d’un autre âge alors qu’il est de construction récente. Une décision doit être prise pour que le bâtiment, qui a coûté des milliards, ne tombe pas en ruine.

Pourtant, le chômage bat son plein à Illoula Oumalou, qui ne dispose même pas d’un local à offrir aux banques ou autres organismes désireux de s’implanter dans la localité. Si les bénéficiaires ne se mettent pas au travail de sitôt, la collectivité serait dans l’obligation de récupérer ces biens et de les vouer à d’autres fins, notamment les services publics dont manque énormément la commune.

Aziz Alimarina.

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Les guichets automatiques mal alimentés

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Depuis quelques temps, les guichets automatiques de la poste de Draa Ben Khedda ne répondent pas toujours présents lorsque les usagers les saisissent. Les citoyens de la ville déchantent de plus en plus de ce service qui n’est pas toujours opérationnel.

Le comble est que ce n’est pas uniquement aux heures tardives de la journée ou les week-ends mais même les jours de semaine en milieu de journée. Les requêtes sont systématiquement refusées avec la réponse que l’opération n’est pas disponible. Les citoyens de la ville se lassent de plus en plus et s’interrogent sur l’utilité de ces deux guichets puisqu’il faut faire la chaîne à l’extérieur pour retirer de l’argent. Ils sont mécontents pour deux raisons essentielles.

La première est donc relative à ces interruptions répétées voire continuelles de ce service de guichets automatiques. La seconde est en fait l’insuffisance de ces GAB même s’ils sont opérationnels H24. En effet, dès les premières heures de la matinée, la chaîne s’allonge devant les guichets des agences. Avec cinq guichets, les clients doivent patienter longuement pour pouvoir se faire servir.

Aussi, devant ces guichets, les discussions tournent autour des causes qui font que ces GAB n’ont souvent pas d’argent. Des citoyens affirment que l’opération n’est pourtant pas compliquée et qu’il suffit qu’un employé de la poste charge les billets de l’intérieur pour que le guichet n’affiche plus «Opération non disponible».

D’autres estiment que les deux guichets ne sont pas suffisants même s’ils sont opérationnels car la ville de Draa Ben Khedda est d’une grande densité démographique. C’est pourquoi, les habitants de cette ville située à 10 km à l’Ouest du chef-lieu de la wilaya lancent un appel au directeur de la Poste et Télécommunication de Tizi-Ouzou pour s’intéresser de près à ces deux agences, surtout l’ancienne située dans le centre-ville.

Dans cette dernière, la chaîne est quasiment permanente de l’ouverture jusqu’à la fermeture. Parfois, dans ces interminables queues, les clients s’étonnent du fonctionnement partiel des guichets. La colère gagne souvent les gens qui sortent en s’interrogeant où sont passés les fonctionnaires.

Il est à noter que la wilaya de Tizi-Ouzou a connu l’ouverture de presque toutes les agences fermées durant la décennie noire. Les services sont visiblement améliorés à travers les communes, surtout avec l’arrivée des guichets automatiques. Ces derniers jouent un rôle important dans le désengorgement des guichets.

Akli N.

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Le gaz naturel mis en service à Allaghane

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Le village Allaghane, situé à 5 km du chef-lieu communal de Tazmalt, vient d’être raccordé au réseau du gaz naturel. Selon les services de la Sonelgaz, la mise en service et les branchements des foyers sont opérationnels et les habitants dont les foyers sont situés dans les quartiers La gare, Vejou et Aït Saïd peuvent bénéficier de ce comestible en présentant le dossier afférent et en s’acquittant des frais de raccordement, dont le détendeur.

En tout, ce sont près de 130 foyers qui seront raccordés à ce réseau tant attendu et réclamé par les habitants, en attendant la généralisation de l’opération au reste du village. L’annonce de la nouvelle n’a pas manqué de susciter la joie des habitants après tant d’années d’attente. «C’est vraiment inespéré.

Cela fait des lustres que nous attendions le raccordement de notre village (Allaghane, ndlr) au réseau du gaz de ville. Je me souviens qu’à chaque fois que la population du village se rebiffait, elle soumettait aux différentes autorités ce point relatif, entre autres, au branchement de la localité au gaz naturel. Dieu merci, cette fois-ci c’est la bonne, on nous a entendu à notre grand bonheur», affirme avec satisfaction notre interlocuteur.

S. Y.

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L’aide à l’habitat rural sous tension

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La commune d’Aït Yahia vit une grande crise en matière de logement. Ainsi, de nombreux citoyens démunis qui n’arrivent pas à réaliser leur maison par leurs propres moyens se rabattent sur les logements étatiques.

L’aide de l’État à l’habitat rural ayant obtenu un succès auprès de nombreux villageois semble faire des émules au sein de la communauté. Le bureau chargé du volet social au niveau de l’APC reçoit des dizaines de demandes. Malheureusement, la dotation de l’État en la matière est loin de satisfaire tous les postulants.

Selon Mouloud Aït Ahmed Kaci, le chargé du dossier, «sur un total de 510 demandes reçues depuis 2015, nous avons établi quatre vingt cinq décisions». Il est très difficile de contenter toute la population répartie sur cinquante trois villages que compte la commune d’Aït Yahia. Selon le nombre d’aides allouées, l’APC doit «jongler» avec les chiffres.

Par souci d’équité, elle doit se résoudre à satisfaire chaque village, même si elle ne doit retenir qu’un seul postulant, tous les deux ou trois ans, pour deux fractions proches, à l’image de Taqa et Koukou, où les comités de village s’entendent sur l’heureux bénéficiaire.

La situation risque de devenir ingérable si les postulants se font encore plus nombreux pour prétendre à bénéficier de ces «miettes» qu’on leur alloue sporadiquement, ce qui n’ira pas sans créer des mécontentements au sein des demandeurs.

L’APC, dit-on, a souvent recours aux listes additives pour répondre favorablement aux recours des citoyens qui se disent lésés lors de l’attribution des quotas. Les mal-logés ne comprennent pas toujours qu’ils doivent attendre plusieurs années pour bénéficier de l’aide qui leur permettra de débuter la construction de leur maison.

«Le quota de 2018 est épuisé et nous en attendons un autre», dira notre interlocuteur. Faute de logements sociaux à leur proposer, la commune demande que les futurs quotas soient à la hauteur de la demande. Notons que les quatre vingt cinq (85) aides allouées à l’APC d’Aït Yahia en 2018 sont épuisées.

A. O. T.

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Cap sur le désenclavement

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Un projet de travaux publics relatif à la réhabilitation d’une section du réseau routier, est inscrit dans le plan d’investissement de la commune d’Aokas pour le compte de l’exercice en cours, avons-nous appris auprès du staff municipal.

«Ce projet budgétisé répond au souci de contribuer au désenclavement de certains villages, en créant les conditions d’un renouveau rural», a déclaré un membre de l’exécutif communal. Et d’ajouter: «Le projet retenu au programme présente un double avantage, étant donné qu’il aura pour effet de briser l’enclavement de deux villages, à savoir Taremante et Alliouene».

S’agissant de la consistance des travaux, il est projeté la mise en place d’ouvrages d’évacuation des eaux pluviales, l’aménagement de l’axe routier et son revêtement en béton bitumineux. Le projet étrenne sa phase de consultation, indique-t-on.

«Nous avons lancé au cours de la première semaine du mois de février un avis d’appel d’offres national ouvert. A l’issue de cette procédure, il sera procédé à l’examen des soumissions et à la sélection d’une entreprise», nous explique-t-on.

Ayant subi durant longtemps l’état cahoteux de cette route délabrée, les habitants des deux villages ne jurent que par la concrétisation de ce projet. «Nous sommes dans l’obligation de restreindre nos déplacements à la stricte nécessité, en raison du mauvais état de cette route qui nous donne du fil à retordre.

Sa remise en état promet de nous tirer de cette situation difficile», souligne un automobiliste du village Taremante. «Le bitumage de ce chemin est primordial vu ses aspérités et crevasses. Sa remise en état augure de meilleurs lendemains pour nos villages», se félicite un usager de cette route issu du village Alliouene.

N.M.

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Des programmes approuvés

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Les élus de l’APC d’Akbou ont tenu, jeudi dernier, une assemblée ordinaire au niveau de la salle de délibérations, pour l’approbation de certains projets de développement local.

Composé de quinze points, les élus ont pratiquement approuvé à l’unanimité l’ordre du jour proposé par le maire. Ainsi, la gestion et l’approvisionnement des cantines scolaires ont eu la part du lion lors de cette assemblée ordinaire. En effet, quatre marchés destinés à cet effet ont été validés et ont eu le quitus de l’assemblée.

Il s’agit en gros de la validation des contrats de marchés avec les différents fournisseurs en matière de denrées alimentaire, fruits et légumes, viande et autre. Par ailleurs, les quartiers populeux de Thimaâdhanine, du groupement d’habitat Iskounène-Hallil, d’Ait Ouali, du Galou, d’Ibalidène-Takka, d’Ait Slimane, de Djerrah, d’Akkouch et de la cité Sonatrach bénéficieront du bitumage en béton armé de leurs différentes ruelles.

Il a été aussi question, à l’issue de cette assemblée, de l’approbation des contrats de la concession de marchés des fruits et légumes, celui des droits de stationnement et de place et enfin le marché d’occasion de véhicules pour une durée de trois ans.

D’autres points ont été aussi débattus durant toute la journée de jeudi, à l’image de l’approbation de l’annexe 2 pour le marché public concernant le revêtement en gazon synthétique du stade de Laâziv Taslent. Le maire d’Akbou, Mouloud Salhi, lors des débats, a plaidé pour la décentralisation des directions des services techniques de la willaya qui constituent, selon lui, une contrainte pour l’avancement de la nomenclature des projets de la commune.

D’ailleurs, plus de 900 projets autofinancés par fonds propres de l’APC, dont le montant global est estimé à plus d’un mille milliards de centimes, dorment dans les tiroirs de l’administration municipale. «À titre d’exemple, nous avons refait toute l’étude et tout le plan du nouveau stade des Martyrs. Nous attendons avec impatience le permis de construire afin de lancer les travaux dans les plus brefs délais», déclare-t-il.

Menad Chalal

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1 500 doses de vaccin réceptionnées

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La subdivision agricole couvrant les communes de Draâ El-Mizan, Frikat et Aïn Zaouïa a eu son quota de 1 500 doses de vaccin pour lutter contre la peste des petits ruminants (PPR).

En effet, depuis le déclenchement de cette épizootie dans de nombreuses wilayas du pays, les vétérinaires n’ont pas cessé de sensibiliser aussi bien les praticiens privés que les éleveurs. «Nous n’avons enregistré aucun cas de peste des petits ruminants.

Mais toutes les dispositions ont été prises afin d’éviter que cette maladie n’arrive dans la région», expliquera Saliha Belfadel, en sa qualité de subdivisionnaire. En plus de cette sensibilisation, l’arrêté du wali relatif à cette maladie a été appliqué à la lettre, dont la fermeture du marché à bestiaux. «L’application de l’arrêté en question a évité la propagation de la PRP dans notre localité», soulignera notre interlocutrice.

Interrogée sur la disponibilité du vaccin, Mme Belfadel dira : «Notre subdivision a reçu 1 500 doses de vaccin. Dès le début de la semaine prochaine, nous lancerons la vaccination dans les trois communes. Cette opération sera menée par les vétérinaires communaux. Les programmes de passage seront affichés dans les villages et les chefs-lieux communaux.

D’ailleurs, nous invitons les éleveurs à vacciner leur cheptel afin d’éviter cette peste qui a décimé des centaines de petits ruminants ailleurs». Aussi, tout comme la vaccination contre la fièvre aphteuse, «le vaccin est gratuit», soulignera-t-elle. «Une fois que ce quota sera utilisé, s’il y a un manque nous le comblerons», rassurera-t-elle.

À rappeler que la campagne de vaccination contre la fièvre aphteuse est achevée dans les trois communes. «Plus de 2 000 bêtes ont été vaccinées durant cette campagne. Il y a une adhésion massive des éleveurs», conclura notre interlocutrice.

En outre, il est à signaler que l’élevage des petits ruminants, notamment les moutons, est important dans les trois municipalités d’autant plus qu’ils sont nombreux ceux qui élèvent ces animaux pour les revendre d’ici le mois de juillet à l’occasion de la fête de l’Aid El Adha et aussi durant les fêtes de mariage. Pratiquement, dans tous les villages de ces trois communes, le nombre de moutons augmente notamment à partir du printemps.

Les maquignons sont les premiers à remplir leurs étables. «Pour le moment, nous n’avons pas encore acheté les moutons parce que les marchés à bestiaux sont fermés, notamment ceux des wilayas des hauts plateaux de l’Est. Nous avons peur d’investir dans ce créneau alors que la maladie a fait des ravages dans ces wilayas steppiques. Le prix de ce quadrupède risque de flamber cette année», déclarera un éleveur-maquignon.

Amar Ouramdane

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Plusieurs affaissements de routes signalés

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Suite aux dernières intempéries, plusieurs affaissements de routes ont été signalés çà et là à travers le territoire de la commune de Taskriout.

Le phénomène continue d’engendrer des perturbations dans le secteur des transports, troublant du coup le déplacement des habitants et surtout l’approvisionnement en produits de première nécessité.

Le relief de la région, caractérisé par de fortes saillies et creux résultat d’une érosion qui s’est accrue durant les dernières décennies, reste l’une des principales causes de la recrudescence des affaissements en plusieurs endroits des différentes voies de communication reliant le chef-lieu aux différents villages et localités de la commune.

D’abord, au niveau de CW16, reliant le chef-lieu de la commune de Taskriout et la commune limitrophe de Tizi N’Berber via la localité d’Aït Idris, a connu un affaissement important ce qui a sérieusement réduit la largeur de la route au point que le passage des poids-lourds est devenu très dangereux et presque impossible.

Le chemin communal reliant Bordj Mira à la localité d’Aït Ali Ou-Mohand a connu lui aussi des perturbations résultant de l’affaissement d’un talus, ce qui a obligé l’APC à intervenir urgemment pour dégager le passage. Mais la plus importante perturbation est causée par une fissure au lieu-dit Aregreg, entre Bordj Mira, chef-lieu de la commune de Taskriout, et la localité d’Anekouche au niveau du chemin de wilaya n°6.

Cet abaissement d’une partie de la chaussée de plusieurs centimètres avait carrément obstrué les deux voies de la route. Durant les travaux de colmatage entrepris par les autorités, la circulation a connu des arrêts intermittents qui ont duré, parfois, plusieurs heures.

Le souci actuel des citoyens d’Aït Smail est que l’affaissement ne s’interrompt pas et que toute la commune risque à tout moment l’isolement. Les autorités continuent de surveiller l’endroit pour entreprendre rapidement des travaux de réparation et ne pas mettre les usagers dans de meilleures conditions.

Ce phénomène, apparu après les intempéries de l’hiver 2011, semble vouloir se perpétuer. En 2015, le même phénomène s’est répété et plusieurs tonnes de tout-venant furent nécessaires pour la réparation de ce tronçon. L’érosion, les hivers rigoureux ainsi que le déboisement et le défrichement intensifs pratiqués par les propriétaires de ces terrains accidentés font craindre le pire et ne présagent rien de bon quant à l’avenir de ce chemin.

À cette époque, il fut question d’entreprendre une étude pour connaitre les raisons de ce glissement important, mais depuis, tout a été mis en stand-by. Du moins, aucune information n’a filtré autour des travaux qui devaient être entrepris pour mettre un terme aux éboulement et glissements le long de ce chemin de wilaya.

Rappelons que ce chemin constitue une importante voie de communication entre les wilayas de Béjaïa et de Sétif car il permet de rejoindre Bouandas via Aït Smail. Il constitue pour des milliers d’usagers une alternative à la RN9, dont les travaux de modernisation au niveau des gorges connaissent de plus en plus de reports et retards.


Sami D.

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Les Canaris en danger au 20 Août

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Le CRB recevra la JSK aujourd’hui à 15h au stade du 20 Août 1955, pour le compte de la 22e journée du championnat de Ligue 1 Mobilis.

Cette rencontre est décisive pour les deux clubs qui visent deux objectifs différents pour cette fin de saison. Le CRB veut assurer son maintien, alors que la JSK veut terminer sur le podium pour participer à une compétition continentale la saison prochaine.

Le CRB qui reste sur deux précieuses victoires de suite, successivement face à l’ESS puis à l’OM, prétend à un troisième succès face aux Kabyles, pour augmenter ses chances de se maintenir. Les poulains de Abdelkader Amrani ont le moral au beau fixe et ne jurent que par la victoire face aux Canaris.

Quant à la JSK, qui reste sur trois contre-performances de suite face à l’ASAM, au PAC et au MCA, elle veut sortir la tête de l’eau. Les Kabyles comptent tout faire pour réussir une belle opération et retrouver la sérénité. «Nous sommes bien sûr très déçus par notre semi-échec face au MCA et nous devons réagir face au CRB en cherchant un bon résultat afin de nous racheter.

Nous ferons tout pour y parvenir», a déclaré le jeune milieu de terrain Oukaci. Les Kabyles sont dos au mur et doivent impérativement s’imposer pour éviter la crise lors des prochains rendez-vous. Pour cela, le coach Dumas utilisera à un adversaire qui lutte pour assurer son maintien.

Il pourra compter sur son excellent milieu de terrain, Tahar Benkhlifa, absent lors du classico de samedi dernier. Le retour du talentueux joueur ne sera que bénéfique pour le groupe. En revanche, l’attaquant Uche sera absent. C’est peut-être même la fin de saison pour lui, vu la gravité de sa blessure au genou.

Dumas attend donc de ses autres poulains une bonne réaction, pour mettre fin à cette série de faux pas. Ce qui est le souhait des supporters, de plus en plus inquiets. De son côté, le leader de la Ligue 1, l’USM Alger, effectuera un déplacement périlleux à l’Est pour défier l’un des mal-classés, l’AS Aïn M’lila.

Auteur d’une victoire laborieuse devant son public face à l’USM Bel-Abbès l’USMA doit se méfier d’une équipe de l’ASAM dont la victoire reste impérative pour pouvoir s’éloigner de la zone rouge. Un match qui s’annonce indécis et ouvert à tous les pronostics entre deux équipes qui luttent pour des objectifs diamétralement opposés.

A Sétif, l’ESS sous la houlette de son nouvel entraîneur Nabil Neghiz, aura à cœur de renouer avec le succès en recevant l’Olympique Médéa et mettre ainsi fin à deux défaites de rang. Cette journée sera amputée de trois rencontres : JS Saoura – DRB Tadjenanet, MC Alger – MC Oran et USM Bel-Abbès – NA Husseïn-Dey, décalées par la Ligue de football professionnel en raison de l’engagement du NAHD et de la JSS en compétitions africaines ainsi que du MCA en Coupe arabe.

CRB – JSK en direct sur Canal Algérie

La rencontre CRB – JSK sera retransmise en direct sur la chaîne Canal Algérie de la télévision nationale cet après-midi à partir de 15h00. Ainsi donc les supporters des deux équipes qui n’auront pas eu la chance d’être sur les gradins pourront suivre le match sur le petit écran.

M. L.

Le programme

15h00 : AS Aïn M’lila – USM Alger
15h00 : CR Belouizdad – JS Kabylie
17h00 : ES Sétif – O Médéa

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